entre bitume et écureuils, j'titube de bonheur. l'accent canadien au bord des lacs d'Ontario. La poutine, le macDo. La routine dans l' sac à dos. L'adrénaline dans les sabots.
Je pense laisser ce blog en suspens. (ou seulement mettre quelques photographies). Mais pour rectifier vos pensées, si vous avez lu, je ne déteste pas ce pays. Ici, la haine des gens est amoindrie. (Car les gens n'ont pas le temps de haïr). Rabat-joie!...
éblouie, étourdie. Je m'engoufre dans la ville de nuit, dans le bruit. J'envie celui qui vit là depuis l'an 2000. Qui a vu les buildings se construire, qui à compris comment vivre au rythme rapide. ça m'ennuie de ne pas voir qui est éclairé par toutes...
je n'ai plus aucune inspiration. Mais la ville brille toujours de ses milles lumières artificielles aux allures d'arc-en-ciel. Les couleurs se reflètent encore sur le lac vert. Les travailleurs continuent à oublier le loisir. Entre hamburgers et salle...
Algoquin Park. Quelle drôle d'histoire. Laisser pour 3 jours un confort habituel et "moderne", pour vivre à la lueur d'une lanterne. Et du feu, allumé chaque soir pour réchauffer nos denrées. Rassurer nos pensées. Chaque nuit il était là, tout près. L'ours...
entre bitume et écureuils, j'titube de bonheur. l'accent canadien au bord des lacs d'Ontario. La poutine, le macDo. La routine dans l' sac à dos. L'adrénaline dans les sabots.